Prenez-le temps de jouer, c’est le secret de l’éternelle jeunesse.
Prenez-le temps de rire, c’est la musique de l’âme.
Prenez-le temps de lire, c’est la source du savoir.
Prenez-le temps d’être calme, c’est la condition du succès.
Prenez-le temps de penser, c’est la source de l’action.
Prenez-le temps d’être bon, c’est le chemin pour être heureux.
Prenez-le temps de donner, la vie est trop courte pour être égoïste.
Prenez-le temps de travailler, c’est le prix du succès.
Prenez-le temps d’aimer et d’être aimé, c’est la raison de vivre.
Prenez-le temps de prier, c’est la force sur la terre.
(Anonyme)
Adalric, curé modérateur dans une Unité Pastorale intercantonale de la Broye. Il est né à Babété un village situé à l’ouest du Cameroun. Il a été ordonné diacre à Douala puis prêtre en 2012 à Payerne.
« Parfois, c’est d’abord la mélodie qui me transporte et là, aucun discours rationnel ne peut l’expliquer. c’est une connexion qui se fait (sans mon avis), entre la mélodie et mon « âme », sans que je ne sache pourquoi, puisque toutes les mélodies n’ont pas le même effet.
Par ailleurs, cela ne dépend ni du rythme, ni du genre musical. Quand le contenu de la chanson m’est accessible (en français ou dans une autre langue que je comprends) et qu’il est touchant, je vibre encore plus. Mais parfois cet ordre n’est pas toujours respecté, et c’est le contenu qui m’accroche en premier et fais vibrer tout mon être au point où j’ai les yeux larmoyants.
Je peux ainsi dire que cela m’est arrivé en écoutant «les beaux yeux de la mama» de Kendji Girac. C’est sans doute une des chansons qui renvoie avec émotion et reconnaissance à penser à sa propre maman. On a envie de décrocher son téléphone pour faire un coucou à sa maman à la fin de la chanson.
Dans un tout autre registre, quand j’écoute la chanson «Je viens vers toi les mains ouvertes» de Jean-Claude Gianadda, au moment des offrandes au cours d’une eucharistie, j’ai l’impression qu’en peu de mots simplement dits (le refrain principalement), tout le mystère vécu est résumé, et avec de telles paroles, je ne peux qu’être disposé au recueillement et à la prière.
Enfin, une chanson peut raconter une histoire, un fait de vie proche ou loin de nous. c’est le cas lorsque j’écoute celle de «Lily», chantée par Pierre Perret. je ne peux l’écouter sans m’identifier à cette fille, ni sans un brin de tristesse suscitant des flots de pourquoi en moi. Et d’ailleurs, submergés par ce ressenti, il faut bien un effort pour entendre raisonner le message d’espérance sur lequel se termine la chanson, lorsqu’il parle de l’enfant à naître, qui au-delà du blanc et du noir, aura la couleur de l’amour. »
La Parole de Dieu
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Adalric, curé modérateur dans une Unité Pastorale intercantonale de la Broye. Il est né à Babété un village situé à l’ouest du Cameroun. Il a été ordonné diacre à Douala puis prêtre en 2012 à Payerne.